The European Illustrated Press and the Emergence of a Transnational Visual Culture of the News/ 1842-1870 | Thomas Smits

1 O livro em apreço tem origem na tese de doutoramento do autor, defendida em 2019 na Radboud University, tendo sido publicado em 2020 como parte integrante da série Routledge Studies in Modern European History. A obra foi desenvolvida entre acervos físicos, com periódicos que não existem na versão digital, e a busca de palavras-chave em acervos digitais. Bem como já destacado por Laurel Brake e James Mussel, a análise de Smits atenta para a importância de se considerar os dois tipos de acervo, uma vez que o digital fornece um acesso limitado ao passado, mas ao mesmo tempo enseja uma ampliação significativa dos estudos a serem realizados.1 Sendo assim, trata-se de um livro que apresenta uma interessante discussão historiográfica sobre o uso de fontes primárias.

2 Nos anos 1950, os historiadores começaram a considerar como fonte as imagens produzidas na imprensa do século XIX. Tal tendência se intensificou nos anos 1980, com estudos focados no caráter nacionalista e identitário das imagens. Segundo Smits, entretanto, é preciso ir além desta perspectiva e considerar o caráter transnacional dos jornais ilustrados. A base da argumentação do autor está no conceito de história transnacional de Jürgen Osterhammel,2 sendo os periódicos vistos como pontos de comunicação entre espaços nacionais. Por isso, o livro analisa os três principais jornais em circulação entre 1842 e 1870: Illustrated London Newsl’Illustration e Illustrirte Zeitung, de procedência britânica, francesa e alemã, respectivamente. Em seguida estende a análise para outros 40 jornais de diversos países ao redor do mundo, a fim de entender como os leitores olhavam para as mesmas imagens. Leia Mais

O Mito da Beleza: como as imagens de beleza são usadas contra as mulheres | Naomi Wolf

Naomy Wokf mito da beleza
Naomi Wolf | Getty Imagens

O mito da beleza como as imagens mito da belezaDias e semanas de quarentena se passam, para umas/uns mais rápido, para outras(os) como torturantes dias sem fim, iguais, grises. Certezas de nossa sociedade – local de trabalho, compromissos presenciais, eventos acadêmicos, necessidades de consumo – caem por terra, diante de um vírus do qual sabemos pouco e que revirou nosso cotidiano, nos fez desmarcar viagens, recriar rotinas de trabalho. Pedimos/nos pedem para nos cuidar, parar e como lema máximo: ficar em casa!1 – para umas/uns uma missão impossível, para outras(os) a percepção de estarem aprisionadas(os), para outras(os) uma possibilidade de manter-se protegidas(os). As ações corriqueiras e o que chamávamos de cotidiano já não existe, por mais que tantas(os) ainda tentem simular uma realidade ou negar os efeitos da Covid-19 em nossas vidas.

Tantas percepções destas desigualdades de nosso sistema-mundo capitalista, ocidental, misógino e racista2 caberiam aqui, mas falaremos de uma problemática cujas análises se aprofundaram pela leitura do livro resenhado: o controle sob o corpo feminino. Como há anos não me ocorria, volto a minha ‘estante virtual’ – com mais livros do que conseguirei ler nos próximos anos – não procurando o que preciso agora, mas com a sensação de que posso ler algo que não precisa ser útil para um novo projeto, para um novo artigo – já viram que não deu certo, maldito capitalismo acadêmico! –. Na lista de livros para ler, havia um que iniciei a leitura no ano passado, O Mito da Beleza: como as imagens de beleza são usadas contra as mulheres, a obra de Naomi Wolf escrita no contexto de outrora, era lido agora sob o prisma da pandemia que estamos vivenciando. Leia Mais

Le silence dans l’art médiéval. Liturgie et théologie du silence dans les images médiévales – DEBIAIS (APHG)

DEBIAIS, Vincent. Le silence dans l’art médiéval. Liturgie et théologie du silence dans les images médiévales. Paris: Éditions du Cerf, 2019. 312p. Resenha de: PIERROT, Loïc. Association des Professeurs d’Histoire et de Géographie (APHG). 22 jan. 2020. Disponível em: <https://www.aphg.fr/Vincent-Debiais-Le-silence-dans-l-art-medieval>Consultado em 11 jan. 2021.

Il existe bien des silences. Il y a celui du repos, le soir venu, après une journée saturée par les bruits du travail et de la ville ; celui de la vie intérieure au passage des pensées et des émotions ; ou encore celui, plus gênant, d’une conversation incommode. Les chercheurs se sont naturellement emparés de ce fait aux aspects multiples, en particulier les « historiens du sensible ». En France, Alain Corbin a proposé une approche des « paysages sonores » là où d’autres, à l’étranger, ont développé les sensory studies ou encore les sound studies. En 2010, l’anthropologue David Howes allait jusqu’à suggérer un sensual turn s’ajoutant aux nombreux autres tournants que les sciences sociales emprunteraient aujourd’hui. Le silence comme objet d’étude n’en est pas moins difficile à situer en l’absence d’une approche globale de celui-ci dans une perspective historique. Parmi tous ces remous heuristiques, Vincent Debiais s’est néanmoins démarqué en 2019 en proposant une histoire du silence à la croisée de l’histoire, de l’histoire de l’art et de la philosophie. Historien chargé de recherche au CNRS, Vincent Debiais questionne le silence dans l’art médiéval en le traitant comme une « positivité » (p.11), c’est-à-dire comme une entité présente dans l’image et dans son sujet. Il contribue ainsi à dégager une nouvelle approche des évocations du silence et de sa présence dans les productions artistiques du Moyen Âge, tout en rappelant le rôle essentiel du fait-silence dans la culture et la vie spirituelle de l’Occident chrétien.

L’approche de V. Debiais, à la fois solide et prudente, comprend aussi quelques audaces intéressantes en osant à plusieurs reprises des parallèles avec l’art contemporain et son traitement du silence. Ces comparaisons ne sont jamais gratuites et permettent de restituer sa radicalité au geste créatif médiéval. Sa méthode ne se départit pas, enfin, d’une vigilance appréciable vis-à-vis des conceptions contemporaines du silence. L’historien ne se laisse déborder ni par les théories contemporaines du silence artistique – où il n’existe pour l’essentiel qu’en tant que performance en soi ou comme paratexte de l’œuvre –, ni par les constructions néo-romantiques ou pseudo-zen du silence qui ont cours aujourd’hui. Avec Vincent Debiais, le silence médiéval devient un signe à part entière et retrouve son épaisseur sémantique et créative.

Un sens chrétien du silence

Les images médiévales ne nous parlent pas. Elles ne nous parlent plus, du moins, comme elles le faisaient avec leurs observateurs du Moyen Âge. Ce constat abrupt paraît d’autant plus vrai face aux représentations médiévales du silence. Il serait peut-être intéressant, si nous nous risquons comme l’auteur au jeu de la comparaison, de rapprocher ce rapport incomplet à l’image passée avec celui décrit par Chris Marker et Alain Resnais dans Les Statues meurent aussi (1953) : devant les figurations médiévales du silence, ce sont deux mondes qui se font face, parce que notre manière de voir et de comprendre n’est pas médiévale. Les intentions se heurtent et font place à une incompréhension qui comporte le risque de la déformation, voire de l’exotisme. Pour comprendre à nouveau le silence dans l’art, il faut donc partir sur les traces du silence médiéval. La première partie de l’ouvrage de Vincent Debiais est consacrée à la définition de ce silence. Au terme de développements sur la discipline et la ritualité du silence dans la civilisation gréco-romaine, l’auteur aborde la question du silence biblique et chrétien. Au sein du corpus vétérotestamentaire, les épisodes de silence marquent généralement une distance angoissante de Dieu – ainsi le livre d’Ézéchiel – ou bien un temps de pédagogie divine vers la sagesse – comme dans le livre de Job. Ce silence pédagogique se retrouve également dans le Nouveau Testament, lorsque le serviteur attend la parole du maître, mais il se double aussi du silence résigné de la Passion qui n’est brisé qu’au dernier souffle du Christ. Or, malgré la récurrence des silences dans la Bible, seules deux scènes se démarquent particulièrement dans la production artistique du Moyen Âge : le silence primordial de la Genèse et le silence à l’ouverture du septième sceau. Cela ne signifie pas pour autant que le silence est absent de la théologie chrétienne. Les Pères de l’Église lui consacrent quelques réflexions parfois concurrentes, mais tous s’accordent pour dire que le silence – subi ou recherché – est une condition nécessaire d’accès à Dieu, qu’il constitue un à-côté de la parole de vérité et de foi et qu’il peut être caractérisé et apprécié au même titre que la lumière ou le son. Le silence s’avère central pour des théologiens apophatiques comme Clément d’Alexandrie (Stromateis, IIe-IIIe s.) ou Philippe de Harvengt (De silentio, v. 1150) parce que la contemplation de Dieu est pour eux au-delà du langage, là où les paroles sont silence. Augustin d’Hippone, pour sa part, distingue la parole silencieuse de Dieu, chargée de vérité intérieure, de la parole sonore et inconséquente des hommes. Plus encore : Augustin estime qu’en musique le silence n’est pas un « vide » mais un son prononcé silencieusement, une pause mesurable, dotée de qualités esthétiques. Conçu comme un « plein », le silence connaît une telle portée au Moyen Âge qu’il est pourvu d’une note au cours de la théorisation de la musique au XIIIe siècle. Après Augustin, le silence devient qualifiable et représentable. Le Moyen Âge s’en saisit.

Le silence dans tous ses états

Vincent Debiais propose une typologie du silence dans les arts médiévaux. Il distingue tour à tour le silence comme transparence, le silence-lieu, le silence-geste et le silence-corps qu’il présente au lecteur en quatre parties richement illustrées. Il observe d’abord les représentations de l’ouverture du septième sceau dans l’Apocalypse de Jean en examinant les enluminures et leur dispositif en regard du texte (« Quand il ouvrit le septième sceau, il y eut dans le ciel un silence d’environ une demi-heure » – Ap 8,1). L’historien s’attarde sur l’Apocalypse de Beatus de Liébana puisque le moine Beatus a insisté dans sa glose sur le fait que le silence devient visible dans la révélation johannique, mais il complète son analyse avec d’autres manuscrits. Il mentionne le cas du ms. Vitrina 14-2, f. 162 (Madrid, Biblioteca Nacional), où la monumentalisation épigraphique du mot silentium, tracé avec des modules larges, rempli d’or et en écriture d’apparat, semble donner une consistance physique au silence et crever le parchemin en faisant « émerger du fond de la peau un cri assourdissant » (p.67). Ce cri de silence n’est pas sans rappeler à V. Debiais un autre cri, celui peint par Edvard Munch en 1893, qui est resté la figuration la plus célèbre du cri silencieux. L’auteur trouve dans d’autres manuscrits un souci de rendre perceptible le silence par l’ornement, restituant ainsi la brutalité du verset biblique en produisant l’effet du silence dans la lecture.

Au chapitre suivant, Vincent Debiais s’attache à mieux comprendre le silence monastique. Il rappelle brillamment que la conception médiévale du désert n’est pas celle d’un espace silencieux, mais d’un espace isolé et hostile ; ce qui est silencieux, en revanche, c’est le pendant métaphorique du désert : le monastère. Jusqu’au XIIe siècle, sous l’influence de l’interprétation clunisienne de la règle bénédictine, le silence monastique remplit trois fonctions : la lutte contre les péchés de la langue, la concentration dans la louange de Dieu et la mise en accord de la vie du moine avec celle de l’ange (disciplina coelestis) qui, en face à face avec Dieu, n’a plus besoin de parler pour connaître et louer. Le silence clunisien est alors renoncement au monde et, par imitation, présence terrestre d’une réalité céleste. Quant au silence cartusien, qui n’est pas une simple retenue de la parole mais une abstinence absolue, il est moins un silence angélique qu’un silence de quiétude nécessaire rendant le cœur disponible à la contemplation de Dieu. Vincent Debiais remarque, à juste titre, que le silence monastique est un processus : il est pour le moine un moyen d’accéder à un état de l’âme. Le bâti du monastère se doit alors d’être une « traduction architectonique d’un état du monde » (p.117). Le cloître comme lieu de silence absolu, hors du cadre cartusien, est une construction théologique qui n’a jamais existé dans les faits. Il est l’image du Paradis, coin de terre ouvert au ciel, alliant le minéral, le végétal et la lumière, exigeant le silence. Les feuilles d’acanthe des chapiteaux du cloître sont d’ailleurs moins des motifs ornementaux qu’une végétalisation de la pierre rappelant le Paradis. Le cloître apparaît donc, en tant qu’image du silence céleste, comme un absolu du silence servant de toile de fond au silence relatif de la vie monastique. L’auteur propose ici un parcours de quelques abbayes, notamment Notre-Dame de Sénanque et Saint-Pierre de Moissac. Il en conclut qu’au monastère, il n’existe pas de représentation en soi du silence, mais une mise en ordre des lieux et des décors qui imposent le silence.

Les deux dernières parties de l’ouvrage sont consacrées au silence liturgique et à la corporalité du silence. Partant d’œuvres d’artistes contemporains comme John Cage ou Yves Klein, Vincent Debiais insiste sur le fait que les images montrent moins la normativité du silence que sa portée spirituelle. D’où l’importance du silence dans le temple et le service divin : nombreuses sont les représentations du silence imposé par la domus Domini qui utilisent essentiellement l’image de l’index ou de la main couvrant les lèvres, aussi bien sous la forme de mosaïques – comme au baptistère de la basilique Saint-Marc de Venise – que dans les enluminures. La représentation de Zacharie privé de parole par l’ange, qui est plus une privation de la nature prophétique de la parole qu’un silence sensoriel selon l’auteur, ouvre une réflexion sur le silence rituel. La liturgie romaine d’aujourd’hui laisse moins de place au silence qu’au Moyen Âge, où il était une condition nécessaire à la célébration efficace de l’eucharistie. Le silence liturgique donne lieu à de multiples représentations : les apôtres faisant silence pour louer Dieu dans leur cœur en sont une manifestation aussi frappante que la représentation du roi David silencieux face au diable. Silence de protection de soi vis-à-vis du péché, silence de respect et d’humilité, silence de prière et de disponibilité à Dieu, ce silence du rite se superpose aux signes sonores de la messe comme les paroles du prêtre et les tintements des cloches. Il est une performance singulière et quiète de la voix placée au centre de l’expérience spirituelle médiévale. Ce silence contraint de la liturgie devient par ailleurs silence de plénitude au moment de communier : « la bouche, organe de la voix, est remplie de l’image du Christ, empêchée de parler par la réalité matérielle du mystère » (pp.204-205). Après ce rapprochement du silence du cœur et du silence des lèvres, Vincent Debiais poursuit la combinaison des sens en liant le silence à la vue. Les récits de vision béatifique de Dieu (visio Dei), genre littéraire florissant dès le XIIIe siècle, mettent en avant une expérience éminemment visuelle indissociable d’un silence complet du corps. Nombreuses sont les enluminures et sculptures qui donnent à voir la stupor admirationis ressentie lors de la théophanie, particulièrement lors de l’Apocalypse. C’est ainsi que l’Apocalypse Getty (Los Angeles, Getty Museum, ms. Ludwig III 1) montre Jean contemplant le silence : c’est, pour V. Debiais, un « basculement sensoriel » et une « mise en voir du silence » (p.221). Ces représentations remarquables finissent par amener l’auteur à un développement sur l’angéologie médiévale. L’ange était en effet supposé savoir ce qui n’est pas dit et évaluer la qualité du silence, de même qu’il était tout à la fois doté d’une voix compréhensible en s’adressant aux hommes et inaudible face à Dieu. Il est la présence de la louange, parole silencieuse et silence de lumière. Jusqu’à l’extrême fin du Moyen Âge, jusque dans les fresques florentines de Fra Angelico, les paroles et les silences emplis de l’Esprit-Saint sont représentés par la lumière – là où le noir et le mauve qui envahissent la toile ou le mur sont silence de mort.

Face à l’image

Au terme de notre promenade silencieuse, que retenir ? Comment comprendre le silence sans le forcer à parler ? Pour Vincent Debiais, l’étude du silence médiéval échappe à toute approche iconographique car il ne peut se plier à une traduction signe-à-terme. Les silences de l’art sont trop variés et leurs artistes trop différents. Le silence médiéval, qui n’est en aucun cas absence de bruit, est toujours une évocation, une présence contenue dans l’image qu’il faut sans cesse traquer – sans la provoquer. Ce silence de l’art médiéval, chrétien et religieux, qui ne prend pas en compte les silences qui peuplent les sources littéraires et judiciaires, est finalement à lui seul un discours qu’il appartient à l’observateur d’aujourd’hui de retrouver. Le livre généreux et éclairant de Vincent Debiais nous donne les clés pour le faire. S’il s’adresse pour l’essentiel à un public averti et ne pourra guère convenir à un lectorat trop jeune, il ravira à coup sûr les enseignants et les étudiants qui sauront en tirer une culture plus solide et, sans doute, un regard plus acéré.

Loïc Pierrot – Élève à l’École nationale des Chartes, étudiant à l’École normale supérieure de Paris.

Consultar publicação original

[IF]

O jardineiro de Napoleão. Alexander von Humboldt e as imagens de um Brasil, América (sécs. XVIII e XIX) | Thiago Costa e Adriadne Marinho

Não resta dúvida de que o naturalista alemão Alexander von Humboldt representa um marco fundamental na história das ciências no século XIX. Lido e adorado por quase todos os homens cultos de sua época, Humboldt serviu de inspiração intelectual para ninguém mais ninguém menos que Charles Darwin e despertou os ciúmes de um megalômano Napoleão Bonaparte. Foi comparado à Aristóteles, Arquimedes, Copérnico e Newton, e considerado um “segundo Colombo”, o “redescobridor da América”. De acordo com Laura Dassow Walls, a popularidade do pesquisador alemão era tão generalizada no interior dos Estados Unidos em meados do oitocentos que acabou por consolidar o que a pesquisadora chamou de “fenômeno Humboldt”. Leia Mais

A visão em deslocamento: uma história de palavras, figuras e paisagens do São Francisco (1930/1970) | Elson Assis Rabelo (R)

O livro de Elson de Assis Rabelo, Visões em deslocamento, é um estudo sobre a produção de imagens, narrativas e espaços do rio São Francisco em contextos autoritários do Brasil do século XX. Produto de uma tese de doutoramento na Universidade Federal de Pernambuco, o livro analisa um conjunto de vestígios, reportagens, fotografias, periódicos, livros, revistas científicas, relatos de viagens, documentos oficiais, dialogando com teorias pós-estruturalistas, abordagens que investigam a história do campo científico da geografia, historicizam a tipificação das populações, a produção dos espaços, a construção de temporalidades arcaicas para esses tipos construídos e problematiza os interesses e conflitos envolvidos nessa realidade produzida. O objetivo dessa resenha é apresentar a obra e pensar, à partir de temas introduzidos pelo autor, sobre novas possibilidades de reflexão em torno do lugar-comum do rio da integração.

O livro se divide em duas partes, com dois capítulos cada, a primeira trata das paisagens e a segunda dos agentes sociais do espaço. No primeiro capítulo sobre a emergência de um novo espaço na geopolítica da integração, Rabelo reconstituiu a invenção do espaço regional são-franciscano desde a topografia dos engenheiros topógrafos nos anos 1930 até os geógrafos de influência estadunidense do final dos anos 1940, passando por importantes autores sobre o assunto como Geraldo Rocha, Jorge Zarur, Agenor Miranda, Orlando Carvalho, entre outros. O segundo capítulo investiga, partindo da análise de uma longa reportagem da revista Realidade, já nos anos 1960, as imagens de progresso e decadência da navegação, bem como a disputa de memórias da mesma, no contexto de desenvolvimento autoritário nacional. No terceiro capítulo, o autor investiga os processos de tipificação das populações do vale pela geografia e pela sociologia das comunidades, passando pela análise de fotografias. Essa área de imagem e história, na qual o autor se especializa desde então, domina o quarto e último capítulo, onde há uma análise de fotografias que contribuem para deslocar esses tipos e humanizá-los, desclassificá-los de uma taxonomia fixadora de caracteres folclorizantes.

Rabelo consegue muito bem analisar a produção espacial do Vale do São Francisco pelos saberes técnicos e pela imprensa. Sua análise das fotografias é perspicaz. Não é preocupação do autor, entretanto, lidar com a heterogeneidade dos discursos. Nesse sentido, o livro é muito útil para novos pesquisadores, pois estabelece um panorama de grandes linhas gerais da escrita sobre o São Francisco. Novas pesquisas permitirão preencher as lacunas deixadas pelo autor, tanto cronológicas, como o interregno entre o Estado Novo e a ditadura militar-empresarial iniciada em 1964, quanto bibliográficas, já que outros escritores se detiveram sobre a questão são-franciscana nesse período, não analisados pelo autor. Na ficção, especialmente, surgiram narrativas que, quando não contestavam diretamente as espacializações e tipificações descritas por Rabelo, desestabilizavam seus pressupostos. Os poucos trabalhos acadêmicos nessa linha são caracterizados ainda por um saudosismo romântico, que costuma reificar narrativas, tipificações e construir novas espacializações e memórias, sem problematizar a sua produção ou a artificialidade das mesmas. Rabelo consegue problematizar as tipificações e espacializações sem construir novas em seu lugar. Ele não disputa a definição do São Francisco e do sertanejo, não o romantiza ou o idealiza. Em algumas passagens, chega-se a duvidar que ele seja mesmo o objeto do trabalho do autor. A análise se concentra no discurso de tal modo que não há dúvida de que o autor trata dos vestígios, do arquivo e não da realidade dada a ver por eles.

A única lacuna que poderia ser destacada na análise é uma questão cara à história intelectual. Quanto Rabelo trata da espacialização do São Francisco pelos engenheiros e topógrafos dos anos 1930 e 1940, temos a impressão de que não há apropriação, reconfiguração e subversão interpretativa dos mesmos em relação às teses de João Ribeiro, Euclides da Cunha e Vicente Licínio Cardoso, mas uma continuidade e aplicação regional. A ideia de rio da unidade nacional e caminho da civilização, de João Ribeiro em seu livro História do Brasil no final do século XIX, retomada por Euclides da Cunha em Os Sertões no início do século XX, foi aprofundada e reformulada por Vicente Licínio Cardoso em conferências dos anos 1920, publicadas nos anos 1930 em edição póstuma, que serviram de referência básica para todos os escritores que lidaram com a questão são-franciscana até pelo menos os anos 1950, quando há um salto qualitativo em termos especializados e institucionalizados da produção do saber sobre o rio – muito bem documentado por Rabelo ao tratar do desenvolvimento de pesquisas de geografia regional científica e profissional sobre o Vale. Ocorre que aquilo que é apenas mencionado por João Ribeiro e citado em Cunha é aprofundado em Cardoso, transformado à luz de uma visão sobre o país e o papel da terra como sujeito, bastantes distintas daqueles dois autores. Por sua vez, Geraldo Rocha, Agenor Miranda e outros que se baseiam em Cardoso o fazem com uma reconfiguração ou mesmo o usam como recurso de autoridade para desenvolverem explicações outras, distintas das do engenheiro carioca. Rabelo destaca bastante a homogeneidade dos discursos sobre o rio São Francisco, sem se concentrar na heterogeneidade e nos conflitos e descontinuidades.

A força do livro está na análise da tipificação das populações e da espacialização das paisagens, mas também aponta a produção das temporalidades nesses texto. Trata-se da parte menos desenvolvida no campo de estudos sobre o assunto. Rabelo faz apenas alguns comentários breves sobre o tempo lento das populações rurais do Vale, característica das narrativas tanto dos topográfos, quanto da sociologia de comunidade de Pierson. Chega a tratar mesmo da falta dela, a tese de Licínio Cardoso do rio São Francisco ser um “rio sem história” escrita. Suas considerações limitam-se a apontar as narrativas como anacrônicas, naturalizadoras da história ou deterministas geográficas, sem entrar nos meandros das narrativas construídas e da intertextualidade dos autores com matrizes ou com outros textos dos próprios investigados. Além disso, há pouca ou nenhuma diversidade das temporalidades construídas pelos escritores investigados, dos aspectos híbridos entre técnica e memória na construção de narrativas e dos textos como produções identitárias. Alguns dos documentos analisados por Rabelo são verdadeiros discursos fundadores de regionalismos onde a abordagem técnica e produtora de espaços e tipos se mistura a relatos biográficos, narrativas épicas, memórias familiares e exaltação de personagens. A abordagem dada por alguns trabalhos acadêmicos que, como foi dito acima, reificam noções romantizadoras do rio e se não são capazes de artificializar essa produção discursiva, ao contrário, reforçam uma tradição que contribuem para produzir, é a continuação dessa produção de mitos. Rabelo trata bem dessa produção mítica em espaço e tipos, mas pouco trata do enredo. Isso se deve, possivelmente, pela sua busca por padrões discursivos, que podem ser construídos com espacializações e personagens comuns, mas é mais difícil de ser encontrada em um conjunto muito mais amplo de narrativas. É possível, aliás, que o único caminho viável seja uma taxonomia das temporalidades produzidas pelos mitos engendrados pelos escritores do São Francisco, especialmente em virtude de suas motivações ideológicas e dos projetos sociais aos quais se vinculam.

Sem dúvida, A visão em deslocamento é uma importante contribuição para um campo de estudos interdisciplinar muito vasto que tem o rio São Francisco como tema, cenário ou objeto. Ao contrário de outros trabalhos que buscam validar, quando na verdade instituem, uma tradição narrativa são-franciscana, o livro de Rabelo permite perceber a produção discursiva sobre esse tema, historiciza essa escrita e bagunça a tradição. Ironicamente, é possível que o livro venha a compô-la, ao refazê-la, abrindo novas possibilidades de estudos e desenvolvendo, verticalmente, discussões tratadas de forma panorâmica com fôlego. Bons estudos correlatos tem sido publicados, mas geralmente monográficos e bastante especializados. A vantagem do livro de Rabelo é que realiza uma síntese do campo, uma espécie de balanço da produção escrita, ainda que seja o livro tenha recorte de vestígios e cronologia muito bem definidos.

Numa época em que se matam rios que foram reificados discursivamente como espaços de progresso latente, uma obra que conta uma história desse “rio sem história” é muito bem-vinda.

Flávio Dantas Martins – Mestre em História pela Universidade Estadual de Feira de Santana. Atualmente é doutorando em História pela Universidade Federal de Goiás. Professor do Centro das Humanidades da Universidade Federal do Oeste da Bahia. E-mail: flaviusdantas@gmail.com  ORCID: https://orcid.org/0000-0001-5275-5761


RABELO, Elson Assis. A visão em deslocamento: uma história de palavras, figuras e paisagens do São Francisco (1930/1970). Rio de Janeiro: Editora Multifoco, 2016. Resenha de: MARTINS, Flávio Dantas. A invenção do Rio São Francisco: configurações do espaço e dos tipos em contextos autoritários. CLIO – Revista de pesquisa histórica. Recife, v.37, n.2, p.462-465, jul./dez. 2019. Acessar publicação original [DR]

Terra de índio: imagens em aldeamentos do Império | Marta Amoroso

Conheçamos o projeto de uma fazenda ideal, imaginada por um francês no Brasil durante a primeira metade do século XIX. O sujeito pensou-a cercada por um cenário paradisíaco na Serra da Mantiqueira, interior de Minas Gerais. Seria uma fazenda produtiva e assentada em terras férteis. Para viabilizar tal prosperidade, o francês acreditava ser possível manter índios e negros em paz, submissos a ele e trabalhando de maneira eficiente. Os africanos escravizados, a benevolência de seu senhor faria que eles se portassem de maneira cordata, retribuindo com dedicação ao trabalho. Já os índios, estes deveriam ser atraídos com presentes. Uma vez que se tornassem aliados, o caminho para sua submissão seria a catequese (p. 38-39). Esse foi um projeto idílico de Auguste de Saint-Hilaire, botânico que viajou por diversas partes do Brasil entre 1816 e 1822, coletando milhares de espécies vegetais e animais, escrevendo relatos. Seus textos são alguns dos mais preciosos escritos sobre o Brasil no século XIX. Apresentam elementos não só sobre a fauna, a flora e a geografia do território, mas também sobre as populações dos sertões do Brasil, incluindo os povos indígenas das várias províncias que conheceu.

O projeto idílico da fazenda Saint-Hilaire, nunca realizado, era apenas uma miragem, uma idealização de como controlar a natureza submetendo-a aos interesses da ciência e do desenvolvimento econômico. Dentro dessa visão, alguns cientistas como ele acreditavam que os povos ameríndios representavam um estágio de degeneração da espécie humana e que cabia aos povos europeus encontrar caminhos para os “civilizar”.

A passagem descrita acima é uma das preciosidades apresentadas e analisadas neste novo trabalho de Marta Amoroso, publicado em 2014 e lançado em 2015 pela editora Terceiro Nome. Com base em arquivos sediados em diferentes países, em especial a documentação da Ordem Menor dos Frades Capuchinhos, de orientação franciscana, sediada no Rio de Janeiro (Arquivo da Custódia dos Padres Capuchinhos no Rio de Janeiro), – Amoroso escreveu uma importante contribuição aos estudos sobre os índios do século XIX. Utilizando-se das ferramentas teóricas da Antropologia, relendo os estudos clássicos de Telêmaco Borba e Curt Ninuemdaju sobre os Guarani no início do século XX, a autora visa não só descrever as políticas de Estado e os dilemas que os freis enfrentaram nos interiores do Brasil, principalmente no Paraná, mas problematizar como os coletivos indígenas (termo up to date entre os etnólogos para se referir aos grupos indígenas) se inseriram nos aldeamentos.

Os aldeamentos no Império do Brasil foram um novo-velho modelo de controle dos índios. A política das aldeias sob controle dos brancos no XIX pode ser lida no sentido de uma reedição, uma espécie de mescla de referências jesuíticas e pombalinas do período colonial. Ao mesmo tempo, traz as novidades de um Estado nacional que buscava controlar as populações do território que pretendia como seu, dinamizando a economia dessas regiões dentro da lógica produtiva do capitalismo. Além disso, a autora mapeia os fundamentos científicos que embasaram as ações dos viajantes europeus ao Brasil no XIX, das concepções dos padres capuchinhos e das formas como os diferentes grupos indígenas traduziam e se inseriam nas novas situações.

Marta Amoroso é antropóloga, professora titular do Departamento de Antropologia da Universidade de São Paulo. Defendeu o seu mestrado na Unicamp, sob orientação de Roberto Cardoso de Oliveira, estudando o povo Mura na Amazônia no século XVIII. No doutorado, na USP, sob orientação de Manuela Carneiro da Cunha, fez uma etnografia do aldeamento São Pedro de Alcântara (1855-1895), onde viveram populações Guarani, Kaiowá e Kaingang na província do Paraná. Ingressou na USP como docente no ano de 2000. Desde então vem integrando importantes grupos de pesquisa, orientando pesquisadores e produzindo uma série de artigos e coletâneas centrados nos temas da Etnologia Indígena, História dos Índios no Brasil e estudos sobre os Mura na Amazônia. É uma das pesquisadoras principais do Centro de Estudos Ameríndios (CEstA) na USP, coordenado por Dominique Gallois.

A tese de doutorado de Marta Amoroso, “Catequese e evasão. Etnografia do aldeamento indígena de São Pedro de Alcântara, Paraná (1855-1895)”, defendida na USP em 1998 é um estudo denso que articula dados de arquivos e levantamentos quantitativos por meio de uma refinada leitura etnográfica. Amoroso, ao longo de sua obra e especialmente em sua tese de doutorado, resolve muito bem a leitura dos dados etnográficos sobre as sociedades indígenas, conseguindo fazer esses dados serem compreendidos dentro do contexto em que foram gerados. Realizar esse tipo de análise com méritos tanto no campo da História como na Antropologia, à maneira de Manuela Carneiro da Cunha e Nádia Farage, é algo raro e merece ser celebrado.[1]

No entanto, a tese de doutorado de Marta Amoroso permanece inédita, pois o livro não é a tese, avisa a autora logo na introdução. Terra de índio: imagens em aldeamentos do Império é uma síntese dos estudos realizados nos últimos 20 anos pela autora. É certo que esses estudos se iniciam na tese, mas transcendem a ela. O presente livro, dividido em três partes, se propõe permitir uma melhor compreensão dos aspectos que cercaram seu objeto inicial, a experiência do aldeamento São Pedro de Alcântara no Paraná e os relatos do frei capuchinho Timotheo de Castelnuovo. É importante registrar que a não publicação da tese configura-se numa grande perda, pois ela é quase inacessível, estando disponível apenas para empréstimo físico na Biblioteca Florestan Fernandes da Faculdade de Filosofia, Letras e Ciências Humanas da USP. O banco de teses online da universidade não possui a tese de Amoroso em seu catálogo, visto que ela foi defendida antes de a USP implantar seu acervo digital de acesso universal.

Voltemos ao livro. A primeira parte, “Explorando a Mata Atlântica”, é composta pelos capítulos “O mal-estar de Guido Marlière” e “Dos Andes e Amazônia, rumo ao crânio botocudo”. Discute os princípios científicos que respaldaram a atuação de muitos viajantes estrangeiros atraídos para o Brasil depois da chegada da Corte portuguesa ao Rio de Janeiro. É nessa parte que está situada a análise da “fazenda imaginária” de Saint-Hilaire, mencionada no início desta resenha.

Já a segunda parte, “Propondo a catequese e civilização”, integrada pelos capítulos “Das selvas ao solo ubérrimo” “Descontinuidades”, aparece como um ensaio antropológico. Aqui a autora utiliza o conceito de “equivocações controladas”, de Eduardo Viveiros de Castro, para pensar desencontros e traduções dentro e fora dos aldeamentos entre os diversos coletivos indígenas, capuchinhos, escravos negros, imigrantes e demais moradores do entorno.

A terceira e última parte, “Construindo o aldeamento indígena”, que contém os capítulos “Ficções em frei Timotheo de Castelnuovo”; “Lavoura (s)” e “Um kiki-koi para Arepquembe”, é identificada pela própria autora como uma releitura de sua tese.

Como já mencionado, há várias passagens riquíssimas no livro. Destaco aqui o capítulo intitulado “Um kiki-koi para Arepquembe”, em que Amoroso apresenta a forma como os Kaingang aldeados, mesmo já convertidos ao cristianismo, conseguem retomar um ritual funerário típico de seu grupo, o kiki-koi, para enterrar o cacique Manoel Arepquembe, assassinado em 1872. Uma das grandezas do capítulo está nas relações que a autora estabelece entre as doenças mortais que atingiram diversas vezes os índios dos aldeamentos e de seu entorno e as releituras das mitologias de fim de mundo entre os Guarani e Kaiowá. Outro aspecto analisado é que o modelo de missão do século XIX eliminou uma estratégia fundamental dos jesuítas no período colonial, que era a tradução das línguas indígenas. No Oitocentos, isso resultou no fato de que os freis Timotheo de Castelnuovo e Luís de Cimitille tinham muito menos elementos para descrever e compreender os rituais funerários Kaingang do que os missionários de séculos anteriores tiveram em relação às etnias com as quais conviveram.

Para o historiador Carlos Zeron, que escreve a orelha do livro, o trabalho de Amoroso prima justamente pelas “pontes” que estabelece com outros períodos históricos. De um lado, o modelo de catequese capuchinha é obrigado a dialogar com a tradição colonial jesuítica, que vigeu no Brasil durante cerca de 200 anos. De outro, a realidade dos indígenas no Brasil de hoje é tributária de ações de avanço sobre os territórios indígenas no século XIX.

A antropóloga Manuela Carneiro da Cunha, no prefácio do livro, destaca por sua vez as peculiaridades do Brasil do século XIX. Tratava-se de um território que, ainda sob o domínio português, se abriu aos interesses de artistas e cientistas europeus convidados pelo príncipe-regente João VI e que culminou com uma política de civilização e catequese de índios a partir de 1845, a qual também previa a vinda de estrangeiros, desta vez padres, sob controle do Estado para se efetivar.

O livro de Amoroso possui uma característica relevante, menos de conteúdo e mais de forma, que eu gostaria de apontar nesta resenha. É uma reflexão que nos ajuda a pensar a eficácia dos formatos aos quais destinamos nossas pesquisas acadêmicas. Por uma série de motivos profissionais e pessoais, podemos deixar de publicar, em formato de livro, as teses e dissertações que produzimos. O que não significa que sejamos pouco produtivos. Ao contrário, desenvolvemos uma série de pesquisas, obtemos financiamento, realizamos trabalhos de campo, vamos a arquivos fora do país, participamos de congressos em diversas partes do mundo. As pesquisas são ricas, como no caso de Marta Amoroso, as análises refinadas, os resultados promissores. No entanto, a exigência de uma produtividade acadêmica que nos remete a uma escala de produção industrial obriga-nos a realizar muito, porém muito fragmentado. Papers em congressos, conferências e comunicações, artigos com número de palavras e páginas estritamente controlado. Com isso, os textos que produzimos, pelos limites impostos pelo tempo e espaço, não conseguem aprofundar os assuntos, muitas vezes são pinceladas a respeito de uma pesquisa maior. A pergunta é: quando, em nosso meio, conseguimos dar a conhecer essa pesquisa maior tanto em tamanho quanto em grau de aprofundamento?

Assim, quando Amoroso opta por publicar um livro que é uma coletânea de artigos, acaba trazendo resultados panorâmicos inconclusos. O leitor fica com muitas indagações que foram mais bem respondidas em outros artigos e na própria tese da autora. Uma das questões, por exemplo, refere-se às articulações e arranjos políticos que estiveram por trás da vinda dos missionários capuchinhos ao Brasil, medida efetivada com a lei de 1845 (Decreto 426 de 24/07/1845). Em artigo publicado em 2006 a autora arriscou uma hipótese, bastante plausível, envolvendo o casamento do imperador Pedro II com a princesa Teresa Cristina, de Nápoles, em 1843, demonstrando que a aliança matrimonial tinha também sentido político e estratégico. Daí concluirmos, seguindo os passos da autora, não ser por acaso a vinda de trabalhadores imigrantes italianos e padres capuchinhos ao Brasil a partir da segunda metade do Oitocentos.[2]

A despeito da ressalva, é evidente que o livro releva grandes achados. No capítulo 4, por exemplo, a autora inicia uma discussão sobre os termos da legislação indigenista do Império e seus desdobramentos. Amoroso nos mostra que os aldeamentos do período significariam uma “descontinuidade” em relação às ações missionárias cristãs. Para a autora, a política dos aldeamentos do Império (1845-1889) trouxe o conceito de tutela do Estado aos índios e, ao mesmo tempo, propôs que seu direito à terra estivesse atrelado ao grau de “selvageria” (p. 76). Dentro dessa lógica, os antigos aldeados não teriam mais direito de permanecer nas missões. Os Guarani-Kaiowá rapidamente aprenderam a jogar dentro desse esquema: se necessário, antigos aldeados “vestiam-se de selvagens” para poder entrar nos novos aldeamentos que se iam fundando (p. 78-80).

No Capítulo 2, Amoroso mostra que o príncipe alemão Maximiliamo Wied-Neuwied, após uma convivência intensa entre os Botocudos, subverteu o binômio tupi-tapuia no século XIX, ao afirmar que os “botocudos” com os quais conviveu eram tão amistosos quanto os tupis do passado. A despeito dessa interpretação mais progressista, os cientistas no período se pautavam nos pressupostos da nascente antropologia física, que postulava os princípios da degeneração das espécies da América, crendo que os botocudos se assemelhariam aos animais, pois não tinham chefia, uma liderança como os andinos (p. 43-8).

Já no capítulo 6, Amoroso mostra uma das formas através das quais os franciscanos tiveram êxito no programa de catequese: com a montagem de uma destilaria de aguardente no aldeamento de São Pedro de Alcântara em 1870. O assunto não foi propagandeado, na verdade seguiu oculto no meio da documentação da Ordem Menor (no Arquivo da Custódia dos Padres Capuchinhos do Rio de Janeiro), visto que o consumo de bebidas alcoólicas entre os índios foi sempre uma prática condenada pela religião católica, o que obviamente não evitou o seu uso, especialmente de bebidas fermentadas e utilizadas nos rituais indígenas. No caso da cachaça, seu consumo esteve sempre relacionado aos danos que causava às populações indígenas, daí o ocultamento do tema (p. 160-1).

Por fim, Amoroso traz novos aportes para que os especialistas enfrentem uma antiga polêmica. Trata-se da afirmação de Manuela Carneiro da Cunha, escrita no começo dos anos de 1990, de que “questão indígena no século XIX era uma questão de terras”:

A “questão indígena”, no século XIX, deixou de ser uma questão de mão-de-obra, para se converter essencialmente numa questão de terras. Há variações regionais, é claro: na Amazônia, onde a penúria de capitais locais não permitiu a importação de escravos africanos, o trabalho indígena continuou sendo fundamental, e foi reaviventado no fim do século, com a exploração da balata, da borracha e do caucho. No Mato Grosso e no Paraná, ou mesmo em Minas Gerais e no Espírito Santo, as rotas fluviais a serem descobertas e consolidadas exigiram a submissão dos índios da região. Mas se se pode arriscar falar “em geral” de um século inteiro e do Brasil como um todo, a tônica foi, no século XIX, a conquista de espaço. Em áreas de índios ditos então “bravios”, tentava-se controlá-los, controlando-os em aldeamentos, “desinfestavam-se” assim os sertões. Nas áreas de ocupação colonial antiga, tentavam-se ao contrário extinguir os aldeamentos, liberando as terras para os moradores. Essas diferenças regionais nada mais eram, portanto, do que duas etapas de um mesmo processo de expropriação. [3]

Amoroso demonstra em seu livro que o projeto dos aldeamentos no Paraná a partir da segunda metade do XIX não tinha por objetivo engajar trabalhadores em atividades de interesse do Império, mas retirar os índios de terras e caminhos estratégicos, abrindo espaço para que chegassem outros trabalhadores, como os imigrantes europeus, considerados mais lucrativos no sistema capitalista. Nisso a afirmação de Cunha casa-se com os dados levantados aqui. De todo modo, a análise de Cunha assenta numa generalidade que o próprio trabalho de Amoroso permite contradizer ao exibir inúmeros episódios em que os índios trabalhavam para além dos aldeamentos, especialmente quando já eram considerados “civilizados” e empregavam-se como “camaradas” contratados por jornadas pelos fazendeiros paulistas (p. 173). Além disso, o problema do texto clássico de Manuela Carneiro da Cunha é afirmar isso para o século XIX como um todo, quando estudos mais recentes sobre a primeira metade daquele século vêm mostrando a importância dos índios como mão de obra em várias partes do território brasileiro.[4]

Outro dado importante, que instiga o leitor a compreender melhor, mas que a autora não fornece maiores dados no livro, ao contrário do que faz na tese, é sobre a presença de população de negros nos aldeamentos e em seu entorno. Esse dado gera perguntas no leitor sobre como se dava essa convivência, que papel ocupavam os negros nesse contexto. Na tese de 1998 é possível descobrir alguns dados mais sobre essas populações que, no entanto, não são explicados no livro. Assim, a presença de africanos e afrodescendentes nos aldeamentos esteve relacionada ao envio de trabalhadores especializados, como ferreiros, marceneiros etc. para trabalhar na Fábrica de Ferro de Ipanema em Sorocaba na década de 1850. Não eram necessariamente libertos, mas estavam na condição de “tutela”, sofrendo ainda castigos físicos conforme as vontades de seus senhores.[5]

Em síntese, os estudos de Marta Amoroso, em seu conjunto, são de uma qualidade ímpar, de grande importância tanto no campo da História quanto da Antropologia, principalmente na intersecção entre elas. A única coisa a lamentar é que o livro foi muito curto perto dos dados que a autora levantou ao longo das últimas duas décadas.

Notas

1. CUNHA, Manuela Carneiro da. (org.) História dos Índios no Brasil. São Paulo: Companhia das Letras/Fapesp/SMC, 1992 (como organizadora e autora de um dos capítulos); _____ (org.). Legislação indigenista no século XIX. Uma compilação (1808-1889). São Paulo: Comissão Pró-Índio/Edusp, 1992; FARAGE, Nádia. As Muralhas dos Sertões. Os Povos Indígenas no Rio Branco e a Colonização. Rio de Janeiro: Paz e Terra ANPOCS, 1991.

2. AMOROSO, Marta. Crânios e cachaça: coleções ameríndias e exposição no século XIX. Revista de História 154 (1º, 2006), 119-150 p. 128-30. Disponível em http://www.revistas.usp.br/revhistoria/article/viewFile/19024/21087 Último acesso em 07/04/2017. Outros estudos que poderiam ajudar a problematizar a questão: SAMPAIO, Patrícia Melo. Política indigenista no Brasil imperial. In: GRINBERG, Keila; SALLES, Ricardo (Org.). O Brasil imperial. Volume I: 1808-1831. Rio de Janeiro: Civilização Brasileira, 2009; SPOSITO, Fernanda. Nem cidadãos, nem brasileiros. Indígenas na formação do Estado nacional brasileiro e conflitos na província de São Paulo (1822-1845). São Paulo: Alameda, 2012

3. CUNHA, Manuela Carneiro da. Prólogo. In: ____ (org). Legislação indigenista no século XIX. Op. Cit., p. 4

4. Alguns trabalhos mais recentes, no campo da história sobre os índios, abordaram a participação indígena também no trabalho no Brasil império: COSTA, João Paulo Peixoto. Na lei e na guerra: Políticas indígenas e indigenistas no Ceará (1798-1845). Tese de Doutorado. Campinas: IFCH, 2016; LEMOS, Marcelo Sant’ana. O índio virou pó de café? A resistência indígena frente à expansão cafeeira no Vale do Paraíba. Jundiaí: Paco Editorial, 2016; MACHADO, André Roberto de. A quebra da mola real das sociedades: a crise política do Antigo Regime Português na província do Grão-Pará (1821-25). 1. ed. São Paulo: Hucitec / Fapesp, 2010; MOREIRA, Vania Maria Losada. Autogoverno e economia moral dos índios: liberdade, territorialidade e trabalho (Espírito Santo, 1798-1845). Revista de História, nº 166, 2012; SPOSITO, Fernanda. Nem cidadãos, nem brasileiros. Op. cit.; XAVIER, Maico Oliveira. Extintos no discurso oficial, vivos no cenário social: os índios do Ceará no período do império do Brasil. Trabalho, terras e identidades indígenas em questão. Tese de Doutorado. Fortaleza, Universidade Federal do Ceará, 2015.

5. AMOROSO, Marta. Catequese e evasão. Etnografia do aldeamento indígena de São Pedro de Alcântara, Paraná (1855-1895). Tese de Doutorado em Antropologia. São Paulo: FFLCH-USP, 1998, p. 130-2.

Fernanda Sposito – Pesquisadora de Pós-Doutorado em História na Unifesp. Bolsista FAPESP. E-mail: fifaspo@yahoo.com.br


AMOROSO, Marta. Terra de índio: imagens em aldeamentos do Império. São Paulo: Terceiro Nome, 2014. Resenha de: SPOSITO, Fernanda. Além do sertão: indígenas no Brasil do século XIX. Almanack, Guarulhos, n.16, p. 343-351, maio/ago., 2017.

Acessar publicação original [DR]

Geo-grafías: Imágenes e instrucción visual en la geografía escolar – HOLLMAN; LOIS (I-DCSGH)

HOLLMAN, V.; LOIS, C. Geo-grafías: Imágenes e instrucción visual en la geografía escolar. Buenos Aires: Paidós (Cuestiones de Educación), 2015. Resenha de: BORRÁS TERUZZI, Daniela. Íber – Didáctica de las Ciencias Sociales, Geografía e Historia, n.83, p.82-83, abr., 2016.

¿Cómo pensar en enseñar geografía en las aulas sin mapas, sin paisajes o sin fotografías? Parece un disparate. Su uso se ha vuelto tan obvio que así como no se cuestiona si se podría no usarlos, tampoco se debate en torno a cómo emplearlos. Esta última es la cuestión sobre la que reflexionan Hollman y Lois en su libro Geo-grafías. Imágenes e instrucción visual en la geografía escolar. Ambas autoras sostienen que las imágenes son imprescindibles porque generan un tipo de conocimiento al que no es posible acceder por medio de otros lenguajes. Se habla incluso de las imágenes como una categoría de pensamiento, con un estatus similar al de las palabras. Entre ambos dispositivos –la imagen y la palabra–, las argumentaciones presentes en los libros de texto, pósteres, manuales y otros materiales didácticos empleados en las aulas sugieren ciertos itinerarios de aprendizaje que, según las autoras, es necesario poner en entredicho. Leia Mais

Imagens Geografias e Educação – intençõesm dispersões e articulações

Os textos que aqui resenhamos compõem o livro organizado a partir do primeiro encontro de pesquisadores da Rede Imagens Geografias e Educação, integrada com base no projeto apoiado pelo CNPq desde 2011. Atualmente, as formas coletivas de produção do conhecimento em redes, que contam com pesquisadores de distintos níveis acadêmicos, de diferentes áreas do conhecimento, têm sido uma tendência, a qual se baseia nas novas condições materiais para o aumento dos intercâmbios, mas também no pressuposto de que nossa era da informação nos exige enfrentar os desafios da separação dura das disciplinas científicas e da produção partilhada do conhecimento.

Formada por distintos pesquisadores de universidades públicas brasileiras, esta rede é um exemplo entre outros atualmente não tão raros, daqueles pesquisadores que decidiram por trilhar seu caminho acadêmico integrando diferenças num interesse comum. Aqui, a Rede estabelece seus elos em relação às práticas de ensino e educação e ao tema da imagem no contexto da linguagem geográfica. Como podemos verificar por cada um dos artigos publicados nesse livro, a recente rede tem mostrado seus avanços teóricos e metodológicos, tanto na forma tradicionalmente acadêmica como na forma de conhecimentos de outras maneiras postos à disposição da sociedade. Leia Mais

Las Casas del Alma: Maquetas arquitectónicas de la antigüedad (5.500 a.C./300 d.C.) – Centre de Cultura Contemporània de Barcelona (CA)

CENTRE DE CULTURA CONTEMPORÀNIA DE BARCELONA (Org.). Las Casas del Alma: Maquetas arquitectónicas de la antigüedad (5.500 a.C./300 d.C.). Barcelona: Editora Institut d’Edicions Diputació de Barcelona, 1994; SCHÁVELZON, Daniel. Treinta Siglos de Imágenes: Maquetas y Representaciones de Arquitectura en México y América Central Prehispánica. Buenos Aires: Editora Fundación Cepa, 2004. Resenha de: PESSIS, Anne Marie; MAIOR, Paulo Martin Souto. Clio Arqueológica, Recife, v.26, n.1, 2011.

Autores

No livro Las Casas del Alma: Maquetas arquitectónicas de la antigüedad (5500 a.C./300 d.C.), os artigos foram escritos por vinte e dois autores com formação em Arquitetura, Arqueologia, Engenharia, História, Letras Clássicas, Artes Plásticas e Filosofia. Em comum entre eles, estão os temas de suas teses de doutorado ou das pesquisas realizadas sobre a análise de representações arquitetônicas e urbanas da antiguidade. Em contrapartida, Treinta Siglos de Imágenes foi escrito por Daniel Schávelzon, professor da Universidade de Buenos Aires com formação em Arqueologia.

Estrutura, conteúdo e conceitos

O catálogo da exposição Las Casas del Alma — que ocorreu em 1994 em Barcelona e exibiu miniaturas, relevos, estuques, mosaicos, papiros e pinturas murais de representações arquitetônicas e urbanas está dividido em duas partes. A primeira contém seis capítulos separados por culturas e áreas geográficas: Maquetas y planos del mundo antiguo occidental; Egipto; Mesopotâmia; Grécia; Roma; e El valor de la antiguedad. A segunda apresenta as fotografias e as fichas descritivas dos vestígios da exposição.

Dos quatorze capítulos do livro Treinta Siglos de Imágenes, os três primeiros são conceituais e introdutórios e os demais onze referem-se às tipologias das representações arquitetônicas relacionadas às áreas geográficas nas quais foram encontradas: Las Maquetas prehispánicas y sus interpretaciones; Imágenes de poblados y su entorno; Las primeras representaciones de la arquitectura; Las maquetas de Mezcala; Las maquetas zapotecas y mixtecas; Teotihuacán: maquetas prefabricadas, dibujos y pinturas murales; Las maquetas de Nayarit, Jalisco y Colima: la imagen de la vida cotidiana; El Oriente de México: maquetas, templos en miniatura, relieves y grabados rupestres; Los mayas y sus diversas formas de representar la arquitectura; La arquitectura pintada en las cerámicas y muros mayas; Las maquetas del altiplano mexicano; Las maquetas aztecas; Las maquetas en Mesoaméricas: hipótesis e interpretación e Las maquetas en Sudamérica.

O catálogo Las casas del Alma diferencia-se de Treinta siglos de Imágenes pela diversidade da formação dos autores e por isso não pode ser visto como um texto unitário.

Dessa forma, Jeam Píer Adam, conhecido por seu livro La Construcion Romana: Materiales y Técnicas, faz um relato sobre as diferentes representações arquitetônicas da antiguidade que podem ter as funções de projeto, místicas e ou até anedóticas.i Golvin e Vergniex reproduzem o santuário do grande templo de Aton, através de um modelo informático em três dimensões, a partir de gravuras nas tumbas de Amarna.ii Wilson, em outro artigo, propõe a utilização das miniaturas como subsídios para se compreender os Dez livros de 197 Arquitetura de Vitruvio.iii E Harth propõe até relações simbólicas com projetos modernista do início do século XX.iv Em contrapartida, Muller evoca o aspecto decorativo e figurativo desses vestígios.v Num enfoque semelhante, Bartoli afirma que as maquetes são modelos inspirados em tipologias reais.vi Dessa forma, e no contexto geral da publicação, os artigos não analisam necessariamente as peças da exposição de 1994. Alguns desses textos são tentativas teóricas e interpretações com conclusões improváveis ou inócuas, especialmente em virtude da falta de subsídios ou de dados arqueológicos mais consistentes.

Comparativamente, Schávelzon adverte no início de seu livro que o acúmulo de hipóteses nos vários trabalhos referenciados impede uma única interpretação das miniaturas e, portanto, tenta estabelecer interpretações específicas para cada cultura.vii Assim, em Puebla, no México, algumas delas seriam modelos de prédios reais. Ou então, no caso olmeca, representariam construções da realeza.viii Caso mais explícito das que se encontraram em Mezcala e que teriam um significado simbólico de morada após a morte.ix Essa é a intenção maior do seu livro: a busca de hipóteses de interpretação dos significados e símbolos desses vestígios arqueológicos.

Em conjunto, os dois livros são válidos na medida em que registram as técnicas, os materiais e a estética das próprias miniaturas das representações arquitetônicas. Valem pelo caráter inventarial. Entretanto, as interpretações e justificativas funcionais são especulações ou suposições que, em alguns casos, carecem de base científica sólida. Mesmo assim, o contraponto geográfico e cronológico dos livros 􀉆 América pré-hispânica (Norte e Central) e o Velho Mundo entre 5.500 a.C. e 300 d.C. (Europa, Norte da África e Mesopotâmia) 􀉆 tornam esses textos complementares e obras de referência para a Arqueologia, uma vez que apresentam algumas tipologias arquitetônicas e urbanas que desapareceram e, portanto, se conhecem apenas através desses vestígios.

Notas

i ADAM, Jeam Pierre. 1994. “Dibujos y maquetas: la concepción arquitectónica antigua”, 25–34.

ii GOLVIN, Jean-Claude, VERGNIEX, Robert. 1994. “Primer análisis para la elaboración de una maqueta electrónica del santuario del gran templo de Atom en Amarna”, 35–40.

iii JONES, Mark Wilson. 1994. “Los procesos del diseño arquitectónico: comprender a Vitruvio a partir de los dibujos y maquetas romanos”, 119–128.

iv HARTH, Carlos Guri. 1994. “Signos de abstracción e imágenes invariantes”, 150–156.

v MULLER, Béatrice. 1994. “Las maquetas arquitectônicas del Próximo Oriente Antíguo: usos y significados”, 54–61.

vi BARTOLI, Gilda. 1994. “Las urna en forma de Cabaña de la protohistoria lacia y etrusca, y sus relaciones con la arquitectura real”, p. 111–118.

vii SCHÁVELZON, 2004: 36.

viii SCHÁVELZON, 2004: 46.

ix SCHÁVELZON, 2004: 77.

Anne Marie Pessis

Paulo Martin Souto Maior

Acessar publicação original

[MLPDB]

Fenster zur Vergangenheit 2. Bilder im Geschichtsunterricht [Janela para o passado: Imagens no Ensino de História] – BUNTZ; ERDMANN (IJRHD)

BUNTZ, Herwig; ERDMANN, Elisabeth. Fenster zur Vergangenheit 2. Bilder im Geschichtsunterricht, Band 2: Von der Frühen Neuzeit bis zur Zeitgeschichte. Bamberg 2008 (C. C. Buchners Verlag), 224 S. Resenha de: HAUE, Harry. International Journal of Research on History Didactics, n.31, p.287-290, 2010.

This second volume follows “Fenster zur Vergangenheit from Antiquity to Medieval Times,” which appeared in 2004 (review in Yearbook 2005 by Patrick Minder) and contains 51 images from Early Modern Times until today, e.g., from the embankment of Columbus to 9/11 in 2001. Patrick Minder called this chain of epochal images for “balisage” indicating the choice of images as a system of buoys, which should guide the learner through history. The 51 images are an appropriate mixture of German, European and oversea items. There are good reasons to develop the learner’s knowledge about learning from images, because the late modern society is overwhelmed by a constant stream of pictures, which indicates an “iconic turn” from text to images. This turn is a challenge to the teaching of history at any level, and the aim must be to strengthen the reflective abilities of the learner when inferring reality from image. Therefore, the book in question can have an important function in teaching and learning history.

The initial part of the book describes the power of images and emphases some fundamental methodological problems; among others Panofsky’s views are brought forward and the concepts of iconology and iconography are mentioned. As many of the newest images are photos, some considerations on their interpretation and use is elaborated, and the research of Karin Hartewig and Gerhard Jagschitz is mentioned. Hartewig finds Panofsky’s theories very useful, but as they are developed in connection with interpreting early modern paintings, it is necessary to supplement them with theories, which are useful when analyzing photos, and the reliability of this presumable trustworthily media is discussed. Jagschitz has developed four levels of interpretation: 1. the evident which is recognizable, 2. the ability to reconstruction, 3. the mute and not immediately understandable, and 4. the effect on learners. Buntz and Erdmann recommend teachers to use a mixture of methods, and the book is especially meant for the teacher as a guide to plan and carry out lessons. The book contains also a useful explication of keywords.

The structure of each item is as follows: a description, interpretation and presentation of the sources in question, supplementary material, and some suggestions for the lessons and finally biographical notes. The selected images are exemplary illustrations of innovative events, such as the landing of Gustav Adolph in Penemünde in 1630, paradigmatic changes in society like the Declaration of Independence in 1776 or symbolic rendering of fundamental institutions as the Declaration of Human Rights in 1789.

The descriptions are necessarily short, and loaded with information; however, the most fundamental facts about pictures are presented, such as the period, place, composition, and the observer’s viewpoint, the identity of the persons and their positions and relations, clothing, the artifacts, decorations, inscriptions and symbols. The descriptions often begin in the center of an image, for example a person is the starting point and then the perspective is widened and ends in a specification of the landscape/horizon or the peripheral framework. The descriptions give a necessary background for fulfilling Jagschitz’ first level: the evident recognizable.

The interpretations are short, too; however, important for learners to know, in order to move to the second level in Jagschitz’ model, is: the reconstruction. For example, in connection with the copperplate of the embankment of Columbus we are informed that it represents different, not simultaneously occurring events. The image is a construction, which compared to the description in the log book of Columbus, on several points is misleading. Another example is “The Spring in Prague”, which is represented first with a photo of Czech dignities from March 30th 1968, among them Alexander Dubcek, and then a manipulated photo with the omission of Dubcek. A combination of the description and the interpretation give the learner knowledge of what has happened as well as why. When comparing the two different editions of basically the same photo, students are trained to be aware of photo manipulations and to learn and use methods to detect it. Buntz and Erdmann have also chosen to show the Lenin-Trotski-photo from 5. May 1920, and explain the new edition of it from 1927 and onward. The aim of the lessons must be to learn that a photo does not show history, but different forms of visualizations of history, or as Jean Magritte formulated it: Ceci n’est pas une pipe – but a representation of a pipe.

The presentation of the source material and supplementary explications, which also follows each image, is important for the next step in understanding images, and brings the learner to discern the mute and not immediate recognizable content of it and its representation. In connection with the Lucas Cranach-painting of the changes brought about by the Reformation “The Fall and the Grace” from 1529, some useful biographic notes are given and an explication of Cranach’s attitude to the concepts of “law and grace.” In connection with a copperplate from around 1640 representing a noble man and a peasant, the supplementary material is a “Cahiers de doléance” from 1789, which depicts the miserable situation of peasants and farmhands 150 years later, and hereby indicates that the French Revolution had a long fuse.

Each image has a short paragraph on how to use it in lessons, for example Francisco de Goya’s painting of the execution of the Spaniards in 1808. For the learners reception of this dramatic image the authors recommend an interdisciplinary collaboration between the subjects of art and history, and the aim of the teaching must be to let the learners reflect on the timelessness of the sufferings of war, not least those of the civilians, and for instance to compare Goya’s painting with Eduard Mannet’s “The Execution of Kaiser Maximillian” from 1867 and Pablo Picasso’s “The Massacre in Korea” from 1951. The didactic recommendations may lead to enlarge the learners’ knowledge, abandon prejudices and develop critical reflectivity, also when interoperating images outside the school. For further reading three or four books are recommended for each image.

All image representations are black and white, and this is not a problem for instance in the case of the photo of Lenin and Trotski from 1920, but it is a deficiency when working with David’s “Marat à son dernier soupir” or the above mentioned painting of Goya. Of course, teachers can find representations in color, and the Internet makes it easy to find good reproductions; however, it would have choice of the 51 images is no doubt in accordance with the general rules for teaching history in the different German federal states; however, many teachers will surely ask the question: Why have the authors just chosen those pictures? This question is quite appropriate because the selection might be a hidden argument for a canon, and it would have made a good book better, if the reasons for the actual selection had been explained and substantiated.

“Fenster zur Vergangenheit” is a meticulously and useful instrument for the teaching of history. Teachers will find much valuable and useful inspiration in the combination of different elements of explication and suggestions for each of the 51 representations and thereby, further the qualification of learners’ historical consciousness in our modern and global society, where images, pictures, photos and electronic representations of events and conditions are so dominant in the culture of pupils and students.

Harry Haue 

Acessar publicação original

[IF]

 

 

 

O corpo das imagens: ensaios sobre a cultura visual na Idade Média | Jean-Claude Schmitt

Em O corpo das imagens Schmitt se propõe a abordar o problema das imagens na Europa Ocidental durante a Idade Média, decidido a encarar um duplo desafio: “analisar a arte em sua especificidade e em sua relação dinâmica com a sociedade que a produziu” (p. 33). Como historiador, afirma, é seu dever recolocar as imagens no conjunto do imaginário social, como nas implicações de poder e de memória.

Por imaginário Schmitt entende uma realidade coletiva partilhada pelos atores sociais. Em uma determinada sociedade ou para um grupo constituído, o imaginário é garantia de coesão e identidade. Leia Mais

Los usos de las imágenes: estúdios sobre la función social del arte y la comunicación social | Ernst H. Gombrich

Ernst Gombrich (1909-2001) é um dos historiadores da arte mais bem-conceituados internacionalmente. Sua obra abrange livros como A história da arte, Arte e ilusão e vários volumes que reuniram ensaios como: Temas de nuestro tiempo, Meditations on a Hobby Horse, La imagen y el ojo, entre outros. No decorrer de sua trajetória intelectual, ministrou aulas de História da tradição clássica, na Universidade de Londres e foi diretor do Instituto Warburg, organização deslocada para a capital da Inglaterra após a diáspora causada pelo nazismo, que obrigou intelectuais alemães a se exilarem em várias partes do mundo.

A produção de Gombrich, como destacou Omar Calabrese (1987), apresenta traços do chamado “visualismo” de Riegl e do “formalismo” de Wolfflin – pesquisadores germânicos com os quais conviveu no Instituto Warburg. Tanto é que criticou duramente as abordagens sobre a arte, fundamentadas em princípios sociológicos, como foi o caso da obra Historia social da literatura e da arte, de Arnold Hauser (1982). Leia Mais

Envisioning the past. Archaeology and the image – SMILES; MOSER (RAP)

SMILES, Sam; MOSER, Stephanie (Eds.). Envisioning the past. Archaeology and the image. Blackwell Publishing. Malden: Oxford y Carthon. 246 páginas. Resenha de: CASTAÑO, Ana Maria Mansilla. Revista Arqueologia Pública, São Paulo, n. 1, 2006.

Este livro, co-editado por uma das pioneiras dos estudos das imagens na arqueologia, oferece uma interessante coletânea de trabalhos sobre a análise do discurso visual em arqueologia. Envisioning the Past foi também a primeira Conferência Internacional sobre o tema na Southampton University (2000). Não foram publicadas as atas daquela conferência, o que atualiza e valoriza ainda mais a temática com esta nova publicação.

A articulação do livro em doze breves capítulos permite ter uma boa panorâmica dos principais objetos de estudo neste novo campo de pesquisa arqueológica. Analisa-se o papel das imagens na construção do conhecimento arqueológico: as imagens sobre as origens da humanidade, o papel do imaginário pré-histórico na construção das identidades identidades, as diferentes fontes do repertório iconográfico arqueológico, o destaque das imagens na arqueologia contemporânea tanto no trabalho de campo quanto na divulgação popular ou formal, sem esquecer as nuances que a introdução das novas tecnologias implica. No entanto, visando uma melhor aproximação a este tipo de estudos, a ordenação temática dos diferentes capítulos teria sido uma opção adequada. Assim mesmo, a própria brevidade dificulta o passo entre a proposta teórica e a amostra analisada.

Mesmo sendo as imagens o fio condutor do livro, os diferentes capítulos sugerem outras interessantes linhas de pesquisa no âmbito da antropologia do patrimônio, da divulgação arqueológica e da construção da comunidade e a cultura arqueológica.

Ana Maria Mansilla Castaño – Escola Oficina de Restauro de Salvador. E-mail: anamansillac@oi.com.br

Acessar publicação original

[MLPDB]

 

Cinéma-École: aller-retour – NOURRISSON (CC)

NOURRISSON, Didier; JEUNET, Paul. Cinéma-École: aller-retour. SaintÉtienne: Publications de l’Université de SaintÉtienne, 2001. 280p. Resenha de: HEIMBERG, Heimberg. Le cartable de Clio – Revue romande et tessinoise sur les didactiques de l’histoire, Lausanne, n.3, p.326-327, 2003.

Les Actes du colloque « Cinéma-École: allerretour », qui s’est tenu à Saint-Étienne du 23 au 25 novembre 2000, évoquent à la fois les images de l’école au cinéma et le cinéma dans l’enseignement. La manière dont les films ont représenté l’école a souvent été négative ; c’était un lieu à éviter où se développait la délinquance. Mais si le cinéma a d’abord été un moyen pédagogique au potentiel énorme, il est aujourd’hui devenu un moyen de communication, mais aussi une partie nouvelle de ce monde que les élèves doivent apprendre à lire pour pouvoir mettre à distance ce qu’ils constatent et ce qu’ils ressentent.

L’un des éléments originaux de ce cinéma scolaire est constitué par les films fixes, des images dont la succession peut rythmer une séquence d’enseignement. Une collection disloquée de ces films a été retrouvée fortuitement dans les anciennes douches d’une école primaire stéphanoise. Mais le cinéma scolaire n’est pas seulement un moyen pédagogique. L’histoire scolaire, notamment, a dû intégrer l’apport des œuvres cinématographiques pour l’évocation de certains événements. Évelyne Hery a cependant souligné l’ampleur de la méfiance des maîtres d’histoires à l’égard des films, au moins jusqu’aux années 70.

La ville de Saint-Étienne manifeste de l’intérêt pour l’histoire du cinéma, scolaire en particulier. C’est aussi dans cette ville qu’a été retrouvé, un peu miraculeusement, un film muet que l’on croyait perdu: Le tour de France par deux enfants de Louis de Carbonnat, tourné en 1923 à partir du livre écrit en 1877 par G. Bruno (en réalité Augustine Tuillerie). Ainsi a-t-il pu être projeté pendant ce colloque.

Charles Heimberg – Institut de Formation des Maîtres (IFMES), Genève.

Acessar publicação original

[IF]

Argentinos e brasileiros: encontros, imagens e estereótipos | Alejandro Frigerio e Gustavo Ribeiro Lins

Revista Brasileira de Política Internacional tem informado seus leitores, nos últimos anos, acerca da volumosa literatura lançada pelo mercado editorial do Mercosul sob a forma de estudos coletivos empreendidos, sobretudo, por brasileiros e argentinos. Esses estudos fizeram avançar o conhecimento do outro, constituindo contribuição importante da academia aos tomadores de decisão no âmbito das relações bilaterais e do processo de integração.

Dois renomados acadêmicos, um argentino, Alejandro Frigerio, e outro brasileiro, Gustavo Lins Ribeiro, inscrevem-se nessa linhagem de lideranças intelectuais capazes de compor grupos mercosulinos de estudo e nos brindam com uma análise original de interações concretas, revelando aspectos antropológicos da convivência dos povos do Cone Sul. Leia Mais

A sociedade do espetáculo | Guy Debord

A imodesta citação “Uma teoria crítica como esta não se altera, pelo menos enquanto não forem destruídas as condições gerais do longo período histórico que ela foi a primeira a definir com precisão” é do próprio Guy Debord em sua ‘Advertência da edição francesa de 1992’, texto que abre a edição brasileira de A sociedade do espetáculo. A teoria proposta por Guy Debord na década de 1960 registrou a ampliação da falsificação do mundo através da mídia e a substituição das vivências diretas dos homens pela condição de espectador, pelo consumo passivo de imagens. O livro, que ganhou adeptos imediatos na militância radical na França de 1968 e reconhecimento tardio nos meios acadêmicos, deixou os rastros principais por onde seguiram autores que refletiram sobre novas configurações institucionais do capitalismo globalizado e hoje se destacam nos debates da teoria social contemporânea. Leia Mais

La guerre des images – de Cristophe Colomb à “Blade Runner” (1492-2019) – GRUZINSKI (RBH)

GRUZINSKI, Serge. La guerre des images – de Cristophe Colomb à “Blade Runner” (1492-2019). Paris: Librairie Arthème Fayard, 1990. Resenha de: KARNAL, Leandro. Revista Brasileira de História, São Paulo, v.11, n.21, p.244-245, set.1990/fev.1990.

Leandro Karnal – Pós-graduando do Departamento de História/USP.

Acesso apenas pelo link original

[IF]